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Intervenir sur une charpente, un toit, un pylône, une plate-forme ou un échafaudage, qu’il s’agisse d’une tâche ponctuelle ou régulière, expose à un danger important : la chute de hauteur. Ces chutes représentent la deuxième cause d’accidents du travail mortels, juste après les accidents de circulation.

Pour réduire ce risque, la prévention doit être intégrée dès la conception des ouvrages et des équipements, et se poursuivre dans l’organisation des postes de travail ainsi que dans la définition des modes opératoires.

Cadre réglementaire

La réglementation ne définit pas précisément le travail en hauteur. Il appartient donc à l’employeur, garant de la santé et de la sécurité des salariés, d’identifier tout risque de chute de hauteur dans le cadre de l’évaluation des risques professionnels. Cette démarche s’inscrit dans l’application des principes généraux de prévention énoncés à l’article L. 4121-2 du Code du travail, qui imposent notamment :

Comme pour tout risque professionnel, le risque de chute de hauteur doit être consigné dans le Document Unique d’Évaluation des Risques Professionnels (DUERP), accompagné des mesures de prévention adaptées. Ce document, obligatoire dès l’embauche du premier salarié, doit être mis à jour régulièrement et tenu à disposition des acteurs concernés (salariés, CSE, inspection du travail, service de santé au travail).

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